Knowledge for Development

Monde

Une selection des organisations internationales de la S&T.


Centre pour le Développement Durable et la Sécurité Alimentaire (CSD&FS)

Notre mission Le  Centre pour le Développement Durable et la Sécurité Alimentaire (CSDFS) se donne pour mission d’accélérer la sécurité alimentaire globale en facilitant et en connectant toute forme de recherche, enseignement et d’engagement sociétal ayant l’ambition d’innover.Que faisons-nous?  Les services que nous proposons consistent à initier, connecter ou encore soutenir des programmes de recherche innovants, des processus de réorientation dans les enseignements désireux de renforcer leur rôle dans la société, et de catalyser l’engagement societal en rapport aux défis à relever dans le secteur de l’alimentation.Pour ce faire, nous proposons une solide expertise en matière de mise en place, renforcement et maintenance de réseaux de parties prenantes qui resteraient autrement isolées les unes des autres. Nous développons et accompagnons des processus d’apprentissage mutuel (circulation des connaissances) pour les pratiques durables participant à la sécurité alimentaire. Nous créons des plateformes internationales permettant l’échanges de pratiques, points de vue et valeurs pour une sécurité alimentaire durable.Exemples types de projets (en anglais):  Seas of Change - Scaling inclusive agri-food markets | A Visual Introduction to Global Food Security | Supurbfood - Towards sustainable modes of urban and peri-urban food provisioning | First International Conference on Global Food Security | EAT - Edible Academic Garden | Empowerment for Sustainability  (course) | A Self-Assessment Tool for Food Security in Higher Education |

31/05/2013


Réseau international sur les aracées comestibles

Le Réseau international sur les aracées comestibles (INEA) est un consortium mondial de scientifiques et de producteurs qui a été formé pour travailler sur les genres Colocasia et Xanthosoma dans le cadre d’un projet intitulé « Adapting Clonally Propagated Crops to Climatic and Commercial Change ». Appuyé par l’Union européenne pendant cinq ans, l’INEA utilisera les aracées comestibles comme modèle pour améliorer les cultures à propagation clonale sous les tropiques, qui s’adaptent difficilement aux nouvelles conditions environnementales car il est rare qu’elles fleurissent ou produisent des graines. Pour surmonter les contraintes telles que le changement climatique, les ravageurs et les maladies ou encore les besoins du marché, le réseau INEA aidera les pays à préserver la diversité génétique des plantes cultivées, à définir des stratégies de sélection et à démontrer l’utilité des biotechnologies modernes pour ce travail. Un réseau de chercheurs et d’agriculteurs sera constitué pour échanger des informations et du matériel génétique sous l’égide des traités internationaux.

14/09/2012


Réseau pour le transfert des connaissances sur les technologies agricoles durables et l’amélioration des liens avec le marché en Asie du Sud et du Sud-Est (SATNET)

Le Réseau pour le transfert des connaissances sur les technologies agricoles durables et l’amélioration des liens avec le marché en Asie du Sud et du Sud-Est (SATNET) a récemment lancé un site web pour partager les connaissances sur les technologies agricoles durables et l’amélioration des liens avec le marché dans la région. SATNET, qui s’inscrit dans le cadre d’un projet de trois ans financé par l’Union européenne et mis en œuvre par le Centre pour la réduction de la pauvreté par l’agriculture durable (CAPSA), vise à soutenir l’innovation en renforçant l’apprentissage intra-régional sur l’agriculture durable et le commerce des denrées alimentaires, en vue d’améliorer la sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté chez les populations les plus défavorisées et les plus vulnérables en Asie du Sud et du Sud-Est. Plus de 30 institutions impliquées dans la recherche, le plaidoyer et le renforcement des capacités dans le domaine de l’agriculture et du commerce des denrées alimentaires participent à ce projet.http://www.satnetasia.org/

14/09/2012


Le Centre international de la science, technologie et innovation pour la coopération Sud-Sud (ISTIC)

La création du Centre international de la science, technologie et innovation pour la coopération Sud-Sud, sous les auspices de l'UNESCO (ISTIC), s'inscrit dans le prolongement du Plan d'action de Doha (2005). Comme son nom l'indique, le Centre opère en tant que plate-forme internationale pour la coopération Sud-Sud dans le domaine des ST&I, en étroite collaboration avec les pays membres du G77 plus la Chine et l'Organisation de la conférence islamique (OCI). L'UNESCO a demandé l'élaboration et la mise en œuvre d'un programme de coopération Sud-Sud dans le domaine des ST&I destiné à faciliter l'intégration d'une approche développementale dans les politiques nationales de ST&I et le processus de renforcement des capacités en S&T. Il s'agira notamment de proposer des activités de conseil, de promouvoir l'échange d'expériences et de bonnes pratiques, de créer un réseau de centres d'excellence travaillant ensemble à la résolution des problèmes dans les pays en développement et de favoriser les échanges d'étudiants, de chercheurs et de technologues dans ces pays.http://www.istic-unesco.org/

1/07/2011


Plate-forme « Initiative pour une agriculture durable » (IAD)

La Plate-forme « Initiative pour une agriculture durable » soutient activement le développement de l’agriculture durable dans le monde. L’industrie alimentaire est le plus gros acheteur de matières premières agricoles. Pour assurer un approvisionnement constant, croissant et fiable de matières premières agricoles, celles-ci doivent être produites de manière durable. En 2002, Nestlé, Unilever et Danone ont créé la Plate-forme Initiative pour une agriculture durable, une organisation à but non lucratif dont la mission consiste à faciliter le partage des connaissances et des initiatives en vue d’appuyer le développement et la mise en oeuvre de pratiques agricoles durables impliquant différents acteurs de la chaîne alimentaire. La plate-forme compte aujourd’hui plus de 30 membres qui partagent une même vision de l’agriculture durable, définie comme « un moyen productif, compétitif et efficace de produire des matières premières agricoles, tout en protégeant et en améliorant l’environnement naturel et les conditions socio-économiques des communautés locales ». La plate-forme IAD a dernièrement publié des directives pour de meilleures pratiques de production durable de cultures arables et légumières, de café, de produits laitiers et de fruits ; une étude comparative sur les normes agricoles et un guide succinct sur l’agriculture durable.Liens vers les publications:Principles and practices for the sustainable production of arable and vegetable cropsPrinciples and Practices for the sustainable production of CoffeeFruit and DairyShort Guide to Sustainable Agriculture

16/08/2012


Action Internationale pour les Ressources Génétiques (GRAIN)

La section 'la recherche agricole pour qui?' porte sur le fossé croissant entre le programme de recherche agricole industriel et le mouvement pour une recherche agricole durable centrée sur les hommes. Elle montre comment se développe le contrôle des entreprises sur l'agriculture, en mettant l'accent sur des points clés comme le riz hybride et la contamination du GM. C'est également un centre d'informations sur les organisations et de liens vers les organisations, mouvements et communautés menant une recherche agricole centrée sur les hommes.

14/12/2004


InSTePP : Pratiques et politiques internationales en matière de science et technologie

InSTePP, une initiative soutenue et hébergée par l’Université du Minnesota (États-Unis), mène des recherches en matière économique et favorise le dialogue professionnel pour informer et ainsi influencer les choix et les actions politiques dans le domaine de la science et de la technologie (S&T). Le centre aborde les dimensions publique et privée de la S&T, et leurs implications pour la conduite, la performance et les conséquences économiques de la R&D dans le monde. Les décisions publiques et privées qui façonnent la science et la techniologie impliquent de plus en plus souvent des dimensions internationales. Les investissements dans la recherche à l’échelle locale ont des conséquences pour d’autres lieux et dans d’autres domaines scientifiques. Les accords internationaux ainsi que les initiatives politiques et les actions des gouvernements et des grandes firmes (multinationales) concernant les préoccupations en matère de commerce, de réglementations et de propriété intellectuelle ont également des effets sur les processus d’innovation et sont affectés par eux.

4/06/2012


Accès à la recherche pour le développement et l’innovation (ARDI)

Le programme d’accès à la recherche pour le développement et l’innovation (ARDI) est coordonné par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle en collaboration avec ses partenaires de l’industrie de l’édition et vise à faciliter l’accès à l’information scientifique et technique dans les pays en développement. En améliorant l’accès à la documentation relative à divers domaines scientifiques et techniques, le programme ARDI vise à : 1) renforcer la capacité des pays en développement à participer à l’économie mondiale du savoir; et 2) à aider les chercheurs des pays en développement à trouver et à développer de nouvelles solutions aux défis techniques auxquels ils sont confrontés à l’échelle nationale et internationale. A ce jour, 12 éditeurs permettent à 107 pays en développement d’accéder à plus de 200 périodiques par l’intermédiaire du programme ARDI.

29/02/2012


AGAP – Amélioration génétique et adaptation des plantes méditerranéennes et tropicales

La très grande unité de recherche Agap, créée le 1er janvier 2011, est une unité mixte de recherche placée sous la tutelle de trois organismes de recherche et d’enseignement supérieur réunis autour de l'amélioration génétique des plantes tropicales et méditerranéennes : le Cirad, l'Inra et Montpellier SupAgro. Des agents de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), de l’Institut français de la vigne et du vin (IFV) et du Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles (CBN) participent également à Agap. Le projet scientifique de l'unité promet œuvrer en faveur de la création de matériel végétal le mieux adapté aux systèmes de productions concernant les 20 principales espèces végétales tropicales et méditerranéennes.

9/03/2012


DesertWatch

DesertWatch est un projet de l'Agence spatiale européenne (ASE) visant à développer un système d'information orienté vers les utilisateurs, basé sur les technologies d'observation de la Terre pour aider les autorités locales et nationales à s'acquitter de leurs obligations de rendre des comptes, énoncées dans la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, et à surveiller les tendances évolutives de la dégradation des terres.

12/01/2012


CORDEX : une expérience coordonnée de réduction d'échelle des prévisions météorologiques au niveau régional

Les techniques de réduction d'échelle pour la modélisation régionale du climat, y compris les méthodes statistiques et dynamiques, sont de plus en plus utilisées pour les études d'impact et d'adaptation. Par conséquent, il est essentiel pour les modélisateurs et les communautés d'utilisateurs de bien comprendre le potentiel et les limites de l'information basée sur ces techniques, ainsi que l'incertitude qui en découle. Reconnaissant cette nécessité, le Programme mondial de recherche sur le climat (PMRC/WCRP) a récemment mandaté un groupe de travail (TFRCD) sur le sujet. IRIN News propose des rapportsrécents sur l'initiative CORDEX.

12/01/2012


Le projet « Agriculture et changement climatique » du Meridian Institute

Le Meridian Institute, aune ONG à but non lucratif de réputation internationale pour l'organisation et la facilitation de dialogues et d'évaluations neutres et indépendantes, cherche depuis 2010 à appréhender les liens existant entre l'agriculture et le changement climatique dans le but d'éclairer le processus de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). L'Institut a réuni un groupe d'experts de haut niveau chargés de faire une analyse indépendante et objective des questions clés liées à l'agriculture et au changement climatique. Des consultations menées avec des négociateurs de la CCNUCC, des experts et des représentants de la société civile ont débouché sur la rédaction d'une note d'orientation (novembre 2011) et d'un rapport d'orientation (juin 2011). En 2012, le Meridian Institute continuera d'organiser une série de dialogues ciblés et de coordonner des actions de recherche et des analyses indépendantes sur ces thèmes.

12/01/2012


EcoHort : Conception de systèmes horticoles écologiquement innovants

Ce projet est porté par l'INRA, le CIRAD, Agrocampus Ouest et Montpellier SupAgro. Il s'inscrit dans la réflexion sur la promotion d'une horticulture durable et, plus généralement, sur la gestion de la biodiversité qui devra s'accompagner d'une gestion intelligente des plantes de manière à fournir une alimentation de qualité et en quantité suffisante aux populations dans les deux hémisphères. Plusieurs initiatives européennes en faveur des pays ACP ont vu le jour, comme le PIP (Pesticides Initiative Programme). Ces initiatives doivent inciter les acteurs à adopter de meilleures pratiques en matière de sécurité alimentaire, de santé humaine et de protection de l'environnement. ECOHORT a pour finalité de concevoir des systèmes horticoles écologiques, reposant sur des connaissances biologiques, socio-économiques et méthodologiques. Les systèmes étudiés seront représentatifs de la situation actuelle et incluront des secteurs de production majeurs (cultures maraîchères et fruitières.) qui connaissent des problèmes parasitaires.

12/01/2012


Programme pour les systèmes de biosécurité (PBS)

Le Programme pour les systèmes de biosécurité (PBS), qui est géré par l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) et financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), a lancé un nouveau site web. Ce site offre un point d’accès à guichet unique aux informations sur l’élaboration et l’utilisation responsables des biotechnologies dans le monde en développement. Concentré sur les deux régions du PBS, l’Afrique et l’Asie, il contient des outils et des ressources, notamment des copies de ses publications faciles à télécharger, pour les décisionnaires politiques du monde entier.

2/11/2011


Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)

http://www.ipbes.net/about-ipbes.html  IPBES est synonyme de «plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques». L’IPBES se veut une interface entre la communauté scientifique et les décideurs politiques, visant à renforcer l'utilisation de la science dans l'élaboration des politiques. Bien qu'il existe de nombreuses organisations et initiatives qui contribuent à l’échange science-politique sur la biodiversité et les services écosystémiques, il n'y a pas de mécanisme permanent reconnu au niveau mondial par les milieux scientifiques et politiques qui regroupe l’information pertinente et qui synthétise et analyse celle-ci pour aider la prise de décision en politique. L’IPBES sera le mécanisme qui tiendra compte des lacunes dans l'interface science-politique (pour la biodiversité et les services écosystémiques) et qui tentera d’y remédier.

21/09/2011


Centre de recherche « Cultures pour le futur »

L’Université de Nottingham en Malaisie accueillera le Centre de recherche « Cultures pour le futur » (Crops for the Future Research Centre – CFFRC). Ce centre, créé en partenariat avec le gouvernement malaisien, aura pour mission d’évaluer les cultures sous-utilisées du monde entier et sera au cœur des efforts internationaux visant à identifier les cultures pouvant servir à l’alimentation humaine ou à la fabrication de produits pharmaceutiques et de biomatériaux. Grâce à un financement de 40 millions de dollars EU du gouvernement malaisien, le CFFRC aura la possibilité de conduire des recherches sur un large éventail d’espèces sous-utilisées dans une région qui abrite quelque 18 000 espèces indigènes. Si le centre de recherche sera entièrement opérationnel dans les 18 mois à venir, les chercheurs pourront débuter immédiatement leurs activités dans les installations déjà disponibles sur les campus de l’Université de Nottingham, en Malaisie et au Royaume-Uni. (via AlphaGalileo)

23/07/2011


Le Global Plant Council

Le Global Plant Council est une coalition de sociétés de phytologie du monde entier qui rassemble les phytotechniciens afin de travailler en synergie afin de résoudre les problèmes urgents auxquels l’humanité est confrontée et qui s’exprime avec un voix vigoureuse dans la perspective des sciences végétales, pour contribuer au débat mondial sur ces problèmes. La mission du Conseil consiste à définir – et s’engager dans - des stratégies coordonnées qui affectent les questions les plus cruciales et à sensibiliser davantage à l’importance cruciale de la phytologie pour s’attaquer à ces problèmes. Cette vision partagée et ces efforts permettront une utilisation plus efficace des connaissances et des ressources, accélérant le progrès accomplis pour relever les défis de la faim dans le monde, l’énergie, le changement climatique, la santé et le bien-être, la durabilité et la protection de l’environnement. Ce Conseil a proposé que l’adhésion au GPC soit réservé aux sociétés/ organisations professionnelles de phytologie à but non lucratif, le facteur clef étant que ces organisations doivent représenter les phytotechniciens.

30/08/2011


Fondation M.S. Swaminathan pour la recherche

La Fondation de recherche M.S. Swaminathan (MSSRF) est un organisme de recherche autonome sans but lucratif qui fut créé en 1988. Son siège est basé en Inde. Elle conduit des projets de R&D dans six domaines thématiques majeurs : systèmes côtiers (restauration des forêts de mangrove, moyens de subsistance alternatifs des communautés de pêcheurs), biotechnologie (mise au point de variétés de riz transgénique résistantes à la sécheresse et au sel, calcul de la teneur en huile des plantes), biodiversité (registre des plantes médicinales, banques de gènes communautaires ex situ, conservation in situ des plantes cultivées), écotechnologie (biovillages), sécurité alimentaire (atlas de l’insécurité alimentaire en milieu urbain et rural), Information, éducation et communication.

30/08/2011


Alliance mondiale de recherche sur les gaz à effet de serre en agriculture

La Global Research Alliance on Agricultural Greenhouse Gases (l’Alliance mondiale de recherche sur les gaz à effet de serre en agriculture), lancée en décembre 2009 en marge de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique qui s’est tenue à Copenhague (Danemark), compte aujourd’hui plus de 30 Etats membres. L’Alliance est fondée sur les efforts volontaires et collaboratifs des pays et offre un cadre d’actions collectives basées sur le volontariat. Elle a été créée pour renforcer la coopération scientifique internationale et accroître les investissements dans la recherche en vue de réduire l’intensité des émissions de GES d’origine agricole tout en augmentant la possibilité de séquestration du dioxyde de carbone dans les sols. L’Alliance a notamment pour objectif d’améliorer l’efficacité, la productivité, la résilience et la capacité d’adaptation des systèmes agricoles pour contribuer de manière durable aux efforts d’atténuation des émissions de GES tout en travaillant à la réalisation des objectifs de sécurité alimentaire. Les membres de l’Alliance souhaitent renforcer et étendre les mesures d’atténuation existantes dans les sous-secteurs du riz paddy, des cultures et de l’élevage, mais aussi se focaliser sur l’étude des cycles du carbone et de l’azote dans les sols, des méthodes de mesures et d’inventaires, en réalisant par ailleurs des inventaires annuels des activités de recherche afin de mieux guider leur développement. L’Alliance encourage l’échange actif des données et des résultats de la recherche pour améliorer la recherche agronomique face aux gaz à effet de serre et renforcer les capacités scientifiques des Etats membres.

23/07/2011


HarvestPlus

http://www.harvestplus.org/HarvestPlus a pour objectif de réduire les carences en micronutriments, également appelée la « faim cachée », en augmentant leur teneur dans les aliments consommés à chaque repas. Cette initiative a adopté une approche innovante (la « biofortification ») qui consiste à augmenter la teneur en micronutriments dans les cultures de subsistance dont se nourrissent les populations. HarvestPlus se concentre sur trois micronutriments d'importance cruciale, et reconnus par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme étant les plus limitants dans les régimes alimentaires des populations : le fer, le zinc et la vitamine A. HarvestPlus prévoit que d'ici quinze ans, des millions de personnes souffrant de carences en micronutriments consommeront de nouvelles cultures vivrières biofortifiées. Lancée officiellement en 2004, l'initiative HarvestPlus a été choisie comme un des trois programmes novateurs pilotes du CGIAR. Elle constitue une précieuse source d'informations sur les avancées et les projets liés à la sécurité en micronutriments et à la biofortification dans le monde.

1/07/2011