Knowledge for Development

Organismes S&T / Ressources Web


Centre pour la conservation de la biodiversité et l’innovation en Afrique (ABCIC)

Créé en 2010, l’ABCIC est une organisation régionale à but non lucratif dont l’objectif est d’améliorer pour la postérité la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité, la préservation de l’environnement et la pérennité des moyens de subsistance des communautés rurales en Afrique. Le Centre met principalement l’accent sur la préservation de l’agrobiodiversité et a adopté une approche intégrée conciliant impératifs de conservation et utilisation durable en facilitant et en encourageant la production, le développement et la commercialisation de nouveaux produits issus de la biodiversité à travers une stratégie de la chaîne de valeur. L’ABCIC tente de combler l’écart existant entre les instituts de recherche internationaux sur l’agriculture et la biodiversité d’une part, et les ONG communautaires d’autre part, en tissant des liens concrets entre les principes et concepts scientifiques et leurs applications technologiques à l’échelon communautaire.

16/08/2010


Le jute mallow : une plante aux noms et usages multiples

Le jute mallow est un légume-feuille nutritif possédant une longue histoire et une variété d’appellations différentes (il est originaire de l’Egypte et également connu sous le nom d’épinard égyptien). Les feuilles sont très nutritives, riches en fer, protéines, calcium, thiamine, riboflavine, niacine, acide folique et fibres alimentaires. Une fois cuites, les feuilles exsudent une gelée visqueuse souvent comparée à la texture de l’okra, d’où son nom « Bush okra » (gombo de brousse). Il en existe autant de variétés que d’appellations différentes (plus de 15 au total). L’espèce la plus cultivée est la corète potagère (Corchorus olitorius), mais toutes les varietés sont comestibles et cultivées à grande échelle. Elle arrive à maturité après trois à quatre semaines et peut être récoltée trois ou quatre fois par saison. Elle ne nécessite aucun engrais chimique. Les agriculteurs peuvent en récolter six à dix tonnes par hectare ; le jute mallow peut aussi être cultivé en rotation avec d’autres cultures pour donner des plantes plus saines et résistantes aux ravageurs. Pendant longtemps, cette plante n’a toutefois pas suscité l’intérêt des chercheurs, d’où le manque chronique de semences de qualité et de connaissances traditionnelles sur ses pratiques de culture. Les chercheurs du Kenya University Botanic Garden tentent de rétablir cette plante comme aliment de base des populations africaines.(Source : blog de l’Institut Worldwatch, 12 mars 2011)

4/05/2011


Nouvel ouvrage sur les paiements pour services écosystémiques des systèmes agricoles

Ecosystem services from agriculture and agroforestry: Measurement and payment, par Bruno Rapidel, Fabrice DeClerck, Jean-François Le Coq and John Beer; Earthscan Editions, 2011.Un ouvrage sur les paiements pour services écosystémiques des systèmes agricoles, présentant les difficultés méthodologiques liées à la quantification et à la commercialisation de ces services ainsi que des études de cas pratiques. Les systèmes agricoles ne sont plus évaluées uniquement sur la base de la nourriture qu'ils fournissent, mais aussi sur leur capacité à limiter les impacts sur l'environnement, ainsi que sur leur contribution à l'atténuation et l'adaptation au changement climatique. Ils doivent internaliser les coûts et les avantages de leur impact sur l'environnement. Les paiements pour services écosystémiques doivent encourager et promouvoir des pratiques durables par le biais d'incitations financières.Les auteurs montrent que si le principe est simple, la pratique est beaucoup plus compliquée.Les deux premiers chapitres du livre présentent des problèmes méthodologiques liés à la quantification et à la commercialisation des services écosystémiques de l'agriculture, y compris l'agroforesterie. La dernière et troisième partie présente des études de cas de mise en pratique de paiements pour services écosystémiques et des expériences en Europe centrale et en Amérique du Sud. Il tire quelques leçons du développement durable et efficace des mécanismes de compensation pour services écosystémiques rendus.(Source : CIRAD, Mars 2011)

4/05/2011


Agroecological Knowledge Toolkit

Le logiciel AKT5 (Agroecological Knowledge toolkit) a été élaboré par l’Université de Bangor (Pays de Galles, RU) en collaboration avec le Département d’intelligence artificielle de l’Université d’Edimbourg (http://akt.bangor.ac.uk/index.php.en?menu=0&catid=0). Conçu pour fournir un environnement visant à acquérir les informations nécessaires à la création de bases de connaissances issues de sources différentes. Il permet de donner une représentation des connaissances provenant d’agriculteurs et de chercheurs, ou de sources écrites variées. Cette représentation formelle des connaissances permet aux chercheurs d’évaluer et d’utiliser les informations qualitatives souvent complexes des différents acteurs concernés sur les pratiques agroécologiques.Les informations collectées à partir du système AKT5 permettent la création de bases de connaissances formalisées et flexibles.http://www.worldagroforestrycentre.org/af2/akt5 L’Université de Bangor au Pays de Galles est une institution spécialisée dans le développement de systèmes à base de connaissances qui permettent d’acquérir et d’utiliser des savoirs locaux dans des dispositifs de R&D. Le système AKT5 vise à réaliser progressivement une encyclopédie des savoirs écologiques locaux. Ces savoirs témoignent d’un rapport singulier entre les populations autochtones et leur environnement naturel, et s’appuient sur leurs propres expériences et observations.

4/05/2011


Cultures spécialisées dans les îles du Pacifique

Ce projet vise à promouvoir une alimentation saine et de qualité, ainsi que les plantes à fibres cultivées dans divers systèmes agroforestiers et favorisant la création de revenus et l’amélioration des moyens de subsistance des petites exploitations familiales. Les cultures spécialisées représentent une opportunité économique importante pour les petits paysans (et les jardiniers) qui souhaitent diversifier leur production et innover (méthodes de production, traitement post-récolte, marketing, etc.).Farm and Forest Production and Marketing (FFPM) propose un certain nombre d’informations essentielles sur 32 cultures : horticulture et botanie ; le rôle de chaque culture dans les parcelles multi-espèces ; sécurité alimentaire et nutritionnelle ; produits commerciaux, normes de qualité ; emplacement et taille des marchés ; traitement post-récolte ; production à valeur ajoutée ; potentiel d’amélioration génétique.Le projet vise à promouvoir : l’intégration des arbres et des cultures (agroforesterie) les plantations commerciales et non commerciales de toutes tailles, y compris les jardins potagers les opérations commerciales à petite échelle (pour les petites parcelles) la production alimentaire locale pour le bien-être et la santé des communautés les cultures traditionnelles l’autonomie alimentaire des communautés. Parmi les résultats attendus, citons notamment : production accrue de cultures spécialisées, développement de micro-entreprises, production alimentaire locale et systèmes agroforestiers multi-strates avec cultures pérennes, afin d’assurer la viabilité économique et écologique de nos communautés.

4/05/2011


Pl@ntNet

Pl@ntNet a pour objectif l’identité, la distribution géographique et les usages des plantes sont des connaissances indispensables au développement de l’agriculture et à la gestion de la biodiversité. Malheureusement, ces informations de base sont le plus souvent difficilement accessibles aux professionnels concernés comme aux enseignants, aux chercheurs ou aux citoyens. Qui plus est, ces informations sont souvent incomplètes dans les régions tropicales et méditerranéennes, qui sont pourtant celles qui abritent la plus grande diversité végétale. Pl@ntNet Pl@ntNet a pour objectif l’identité, la distribution géographique et les usages des plantes sont des connaissances indispensables au développement de l’agriculture et à la gestion de la biodiversité. Malheureusement, ces informations de base sont le plus souvent difficilement accessibles aux professionnels concernés comme aux enseignants, aux chercheurs ou aux citoyens. Qui plus est, ces informations sont souvent incomplètes dans les régions tropicales et méditerranéennes, qui sont pourtant celles qui abritent la plus grande diversité végétale.Pl@ntNet contribuera à combler ces lacunes de la connaissance par Des recherches innovantes et transdisciplinaires, à la frontière entre botanique intégrative et sciences de l’informatique, basées sur l’exploitation de vastes réservoirs de données, de connaissances et d’expertise sur la morphologie, l’anatomie, l’agronomie, la génétique, la taxinomie, l’écologie, la biogéographie et les usages des plantes. Le développement et la diffusion de méthodes et d’outils logiciels collaboratifs, libres d’usage et faciles à utiliser, pour l’identification botanique comme pour l’agrégation, la gestion, le partage et l’exploitation de données de toutes sortes sur les plantes. La promotion de la science citoyenne, en tant que puissant vecteur d’accumulation de données nouvelles sur les plantes, et de formation en agronomie, botanique et écologie

4/05/2011


MAPFORGEN : un atlas en ligne pour la conservation des ressources génétiques forestières

MAPFORGEN (cartographie des ressources génétiques forestières) est un projet qui vise à évaluer l'état de conservation d'une centaine d'espèces de bois importantes sur le plan socio-économique (arbres, palmiers, végétaux ligneux de petite taille et bambous) dans différentes écorégions d'Amérique latine et des Caraïbes. Le produit final, agrémenté des informations collectées, sera un atlas en ligne accessible publiquement auquel est associé une base de données géospatiales qui fournit des informations sur les menaces potentielles et la distribution des espèces, mais aussi des analyses in situ. En outre, des experts apporteront leur aide pour décrire les principaux risques auxquels les espèces prioritaires sont confrontées et identifier les populations menacées et la répartition des zones de forte vulnérabilité. Les informations fournies dans cet atlas contribueront à améliorer la visibilité en matière de conservation des ressources génétiques forestières natives d'Amérique latine et des Caraïbes, mais constitueront également une ressource très utile pour documenter les programmes nationaux et internationaux Forêts et Conservation. Elles pourront également servir de base pour des études ultérieures sur la conservation des ressources génétiques forestières au niveau intra-spécifique.MAPFORGEN est une initiative commune de Bioversity International et du Centro de Investigación Forestal of the Instituto Nacional de Investigación y Tecnología Agraria y Alimentaria (CIFOR-INIA, Espagne), en étroite collaboration avec le Réseau latino-américain des ressources génétiques forestières (LAFORGEN).

14/06/2011


Recherche participative et gestion de la biodiversité agricole en Europe

Par Michel Pimpert de l'Institut international pour l'environnement et le développement (IIED), mai 2011. S'appuyant sur l'expérience européenne et la littérature existante dans ce domaine, ce document, qui a été préparé par Michel Pimpert de l'Institut international pour l'environnement et le développement (IIED), offre un support de réflexion critique pour savoir comment – et dans quelles conditions – l'UE entend développer une série d'approches innovantes participatives de gestion de la biodiversité agricole en Europe. Des recommandations ont été formulées pour répondre à trois défis en particulier : mettre en œuvre au niveau local de nouvelles approches de gestion adaptative de la biodiversité agricole et de la résilience face au changement climatique et à l'incertitude des prévisions, promouvoir et institutionnaliser la recherche participative et l'innovation dans le domaine de l'amélioration ou de la sélection végétale, la sélection variétale et la recherche agroécologique, et mettre en œuvre de nouvelles mesures politiques favorisant la gestion participative de la biodiversité agricole.

14/06/2011


Extinction des colonies d'abeilles et autres menaces globales pour les insectes pollinisateurs

Par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), 2010.Ce bulletin publié par le PNUE fait état des derniers résultats scientifiques et analyse les réponses possibles aux menaces qui pèsent sur les insectes pollinisateurs, au premier rang desquels figurent les abeilles (le groupe de pollinisateurs le plus important dans le monde). La question suivante est posée : Une « crise de la pollinisation » s'est-elle déclarée au cours des dernières décennies ou n'est-ce qu'un signe du déclin de la biodiversité dans le monde ? Ce rapport met en avant l'instabilité des populations d'abeilles sauvages et domestiques, recense les facteurs explicatifs et les mesures possibles d'atténuation, et formule un certain nombre de recommandations. Les données actuellement disponibles concernant le déclin des insectes pollinisateurs ne sont pas suffisamment probantes pour démontrer qu'il existe bel et bien une crise mondiale de la pollinisation ayant des répercussions sur la production agricole. Les données laissent apparaître que l'agriculture mondiale est devenue de plus en plus dépendante de la pollinisation au cours des 50 dernières années. Qui plus est, la pollinisation n'est pas uniquement un service gratuit offert par la nature, mais un service qui requiert des investissements associés à un cadre de gestion approprié pour le protéger et le pérenniser.

14/06/2011


TRY, une base de données mondiale sur les traits génétiques des plantes

La plus grande base de données du monde sur les caractéristiques des plantes, aussi appelées traits fonctionnels, vient d’entrer en service. Il a fallu quatre ans pour compiler 3 millions de ces données concernant 69 000 des 300 000 espèces de plantes existantes. Une collaboration internationale qui a engagé des scientifiques de 106 laboratoires de recherche dans le monde. Hébergée par l’Institut Max Planck pour la biogéochimie à Iéna, en Allemagne, la base de données TRY est un outil essentiel pour la recherche sur la biodiversité et promet d’améliorer la modélisation du « système Terre ». Les traits fonctionnels des plantes, c’est-à-dire leurs caractéristiques morphologiques et physiologiques, déterminent la manière dont ces êtres vivants se battent pour avoir accès à leurs ressources (la lumière, l’eau et les éléments nutritifs du sol), grandissent et affectent leurs écosystèmes. Connaître ces traits est notamment utile pour déterminer l’influence des plantes sur les propriétés de l’écosystème au niveau de la vitesse du cycle nutritif, de l’utilisation de l’eau et de l’absorption du dioxyde de carbone. Jusqu’ici, il a été difficile de rassembler des données sur de grands nombres d’espèces de plantes, qui sont utiles pour permettre aux modèles de bien représenter les effets des changements environnementaux (comme le réchauffement climatique) sur les écosystèmes. La première version de la base de données TRY vient d’être publiée cette semaine dans la revue Global Change Biology. L’utilisation des modèles de végétation fondés sur les traits mène à une représentation plus réaliste et empirique de la biodiversité terrestre. La base de données TRY montre pour la première fois à une telle échelle que la majorité des variations de traits observés est représentée par des différences au niveau des espèces végétales. (Eurekalert, 1/07/2011)

23/07/2011


Centre de recherche « Cultures pour le futur »

L’Université de Nottingham en Malaisie accueillera le Centre de recherche « Cultures pour le futur » (Crops for the Future Research Centre – CFFRC). Ce centre, créé en partenariat avec le gouvernement malaisien, aura pour mission d’évaluer les cultures sous-utilisées du monde entier et sera au cœur des efforts internationaux visant à identifier les cultures pouvant servir à l’alimentation humaine ou à la fabrication de produits pharmaceutiques et de biomatériaux. Grâce à un financement de 40 millions de dollars EU du gouvernement malaisien, le CFFRC aura la possibilité de conduire des recherches sur un large éventail d’espèces sous-utilisées dans une région qui abrite quelque 18 000 espèces indigènes. Si le centre de recherche sera entièrement opérationnel dans les 18 mois à venir, les chercheurs pourront débuter immédiatement leurs activités dans les installations déjà disponibles sur les campus de l’Université de Nottingham, en Malaisie et au Royaume-Uni. (via AlphaGalileo)

23/07/2011


Nouveau programme européen de recherche en matière de gestion durable des sols

Un nouveau programme de recherche conduit par des organismes européens et financé par la Commission européenne a pour ambition de mettre en œuvre une politique de gestion durable des sols impliquant la mise en place d’une directive-cadre juridiquement contraignante sur les sols, comme c’est déjà le cas pour l’air et l’eau. Lancé en janvier 2011, le projet EcoFINDERS (sur les fonctions écologiques et les indicateurs de biodiversité des sols) rassemble 22 partenaires institutionnels de recherche européens, dont l’Université de Cambridge, et vise à formuler des conseils pour gérer au mieux la santé des sols. L’objectif de ce projet est d’élaborer et de mettre en œuvre des stratégies d’utilisation durable des sols. (INRA, 14/7/2011)

27/09/2011


Des ressources pour accéder à toute la littérature botanique sur le Web

Le Weblog sur la biodiversité agricole a publié un mémo utile pour tous ceux qui souhaitent accéder en ligne à des ressources scientifiques sur l’ethnobotanique et les collections de matériel génétique, avec un lien vers une page web maintenue par l’Université du Kent et proposant une compilation de bases de données en ligne, de moteurs de recherche, de listes de contrôle, de bibliothèques d’images, etc. à l’attention des étudiants en ethnobotanique.Pour les collecteurs de matériel génétique, Agro.biodiver.se propose également un lien vers le Portail d’information sur les banques de gènes de plantes cultivées (Crop Genebank Knowledge Base) et sa page intitulée « Sources d’informations publiées sur les espèces de plantes sauvages », synthèse des nouvelles connaissances, procédures, meilleures pratiques et références en matière de diversité végétale. Il explique en outre comment et où vérifier la taxonomie/le nom des espèces, mais aussi trouver la littérature botanique informatisée ainsi que des guides sur la flore.(Agro.biodiver.se, 9/10/2012)

25/10/2012


Mesurer la biodiversité des paysages agricoles

Un groupe de chercheurs européens et africains, dans le but d'informer sur la situation et l'évolution de la biodiversité des paysages agricoles, a récemment créé et testé un nouvel outil, le « système d'indicateurs BioBio ». Ce système révèle 23 différents indicateurs destinés à mesurer la biodiversité dans différents types d'exploitations agricoles et à différentes échelles en Europe. Ces applications, également testées en Tunisie, en Ukraine et en Ouganda, ont démontré la possibilité d'adapter le système d'indicateurs au contexte agricole de différents pays. Dans un contexte agricole, la biodiversité (la génétique, la diversité des espèces et des habitats) et ses caractéristiques sont particulièrement importants, bien que les connaissances s'avèrent limitées en matière de biodiversité des exploitations et concernant la manière dont celle-ci fonctionne.     http://www.thesolutionsjournal.com/node/23997    (Solutions,10/2013)   

27/02/2014


Évaluation et valorisation du potentiel d’éradication des ravageurs grâce au contrôle biologique des paysages agricoles européens (APPEAL)

Ce programme de recherche, mené par l’Université suédoise de sciences agricoles, l’Université d’Innsbruck (Autriche) et le Centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ, Allemagne), étudie les relations entre l’utilisation des terres et la biodiversité et entre la biodiversité et le service écosystémique de contrôle biologique. Il offre en outre un cadre permettant d’estimer les avantages du contrôle biologique. APPEAL utilise le puceron des céréales comme ravageur type. Les résultats de l’étude aideront à évaluer les multiples services écosystémiques en fournissant une structure claire et adaptable permettant d’intégrer les valeurs associées aux services écosystémiques dans des scénarios de changement d’utilisation des sols. Une question essentielle était d’explorer les avantages et les inconvénients des services de biocontrôle par rapport à la protection conventionnelle des végétaux.    http://www2.ekol.slu.se/appeal/   (APPEAL, 2014)

10/04/2014