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7e Symposium technique international de la CIGR « L'innovation dans la chaîne de valeur alimentaire » et 2e Conférence internationale sur les technologies post-récolte et la gestion de la qualité « Postharvest Africa 2012 »

Dates : 25-28 novembre 2012 Lieu : Stellenbosch University, Afrique du Sud La Commission internationale du génie rural (CIGR) et ses partenaires organisent le 7e Symposium international de la CIGR « L'innovation dans la chaîne de valeur alimentaire » et la 2e Conférence internationale sur les technologies post-récolte et la gestion de la qualité « Postharvest Africa 2012 ». La conférence présentera les dernières avancées scientifiques et les nouveaux outils technologiques destinés à manipuler, préserver, transformer, maintenir et contrôler la qualité de denrées alimentaires, réduire les pertes des produits frais et transformés et des matières premières agro-industrielles, y compris les fruits et légumes, les céréales, les racines et tubercules, la viande, les produits de la mer, les herbes, les épices et les fleurs coupées. Pour en savoir plus : www0.sun.ac.za/postharvest/cigr2012

dimanche 25 novembre 2012 - mercredi 28 novembre 2012


Compendium on Postharvest Operations (FAO)

Le Compendium post-récolte décrit les problèmes essentiels liés aux opérations post-récolte ou aux activités post-production pour les aliments de base et les cultures comestibles. Le Compendium est conçu pour être utilisé par le biais d'Internet : il fournit des informations techniques actualisées sur ce qui est fait (quoi, quand, comment) après la production des cultures dans les différentes communautés à travers le monde. Il offre également des informations sur d'autres aspects liés aux activités post-récolte, notamment sur les cultures et la main-d'œuvre familiale, les outils et les équipements de base intervenant dans la production et la post-production, les principales causes de pertes, la lutte contre les ravageurs, les questions socio-économiques, les questions de genre, de commercialisation, la valeur nutritive, les techniques de transformation, les sous-produits, la qualité des produits. Plusieurs chapitres portant sur des cultures spécifiques et des aspects précis en matière de post-récolte sont actuellement en préparation. Ils sont réalisés par des experts sous la supervision d’institutions reconnues, telles que l'IRRI, le CIAT, l’INDDA, l'APCC. Cette information servira de support global aux activités post-récolte, et améliorera la sécurité alimentaire dans l'avenir.

11/01/2011


Controlled Atmosphere Storage of Fruits and Vegetables

CABI | 2010-02-08 | ISBN: 1845936469 | 320 pagesLe transport et le stockage des fruits et légumes frais est une opération à caractère international où la technologie doit être utilisée afin d’être assuré que la production atteindra le consommateur dans les meilleures conditions possible. Le recours à une atmosphère contrôlée pour le stockage permet de réduire l'utilisation de produits chimiques post-récolte, de maintenir leur qualité nutritionnelle et leurs caractéristiques organoleptiques et de diminuer les pertes physiques. Cette édition révisée tient compte des dernières recherches et fournit un aperçu exhaustif et actualisé sur le stockage d’aliments sous atmosphère contrôlée et modifiée. Les différents chapitres abordent l'histoire des techniques, la gamme des conditions et des technologies actuellement utilisées pour différents produits et leurs effets sur la saveur, la qualité et la physiologie. En outre, l'influence des ravageurs et des maladies, les facteurs environnementaux et l'emballage ainsi que les aspects relatifs au transport sous atmosphère contrôlée sont examinés en détail. On trouve également une synthèse des recommandations pour une vaste gamme de cultures.

11/01/2011


Doing Things Differently: the Postharvest Innovation Learning Alliance

PHILA (Post-Harvest Innovation Learning Alliance) est un réseau national d’apprentissage mis en place pour faciliter le développement et la diffusion de technologies post-récolte appropriées. Le projet, actuellement actif en Tanzanie et au Zimbabwe, aspire à produire et promouvoir de nouvelles idées sur la manière dont les systèmes d'innovation nationaux peuvent être mieux mobilisés afin de soutenir l'intérêt pour les connaissances en matière de post-récolte et leur adoption par les utilisateurs finaux, en particulier les agriculteurs pauvres.

11/01/2011


Flagship Research and Development Programme: Technologies to reduce post-harvest food loss

NEPAD, African Ministerial Council on Science and TechnologyL'une des sources de l'insécurité alimentaire en Afrique est la perte après récolte. Dans les pays africains, les pertes pré- et post-récolte sont plus élevées que la moyenne mondiale et cela a des conséquences encore plus graves sur des moyens de subsistance déjà menacés. Il a été estimé qu'au moins 10 pour cent de la productivité des cultures du continent est perdue à la ferme et en dehors d’elle. Cela tient principalement à ce que la plupart des communautés qui pratiquent une agriculture de subsistance n'ont pas accès aux technologies appropriées. Nombre des technologies de transformation des aliments existantes ne sont pas accessibles, ou adaptées aux pays africains et leurs communautés. Les conditions climatiques contribuent également aux pertes post-récolte, comme les inondations, les fortes pluies, les sécheresses et d'autres facteurs du même ordre.

11/01/2011


Groupe de recherche 'Post-Harvest and Value Addition' au Natural Resources Institute, Université de Greenwich (R.-U.)

Le groupe de recherche "Post-Harvest and Value Addition" au 'Natural Resources Institute' de l'université de Greenwich (R.-U.) travaille sur les produits post-récolte durables et périssables pour réduire leurs pertes, cherchant à améliorer la valeur économique et / ou nutritionnelle des produits, dans le but de soutenir la sécurité alimentaire. La recherche couvre autant les principes fondamentaux de stockage et de préservation de la qualité le long de la chaîne de production/commercialisation, que les aspects scientifiques de l'alimentation dans les procédés de production/préparation des aliments. Les axes de recherche sont: l'utilisation de techniques perfectionnées d'analyse comportementale dans les études des insectes ravageurs des grains, l'identification de nouvelles options pour la gestion des insectes ravageurs sans pesticides de synthèse, l'étude de la sécurité alimentaire dans le secteur alimentaire informel des pays en développement, l'amélioration de la qualité et de la sécurité dans ce secteur vital pour l'emploi des plus pauvres, l'amélioration de la durabilité des moyens de subsistance dans les régions semi-arides rurales des pays en développement dépendantes de ressources naturelles renouvelables, et les approches optimales pour le développment de la filière 'manioc' (soutenu par la Fondation Gates) et des cultures vivrières bio-fortifiée (avec le programme 'HarvestPlus Challenge').

25/01/2011


Improving Processing and Postharvest Handling (CNFA publications)

Alors qu’une productivité élevée est un élément essentiel dans un secteur agricole dynamique, l'amélioration de la manutention et du traitement post-récolte est tout autant déterminante pour assurer la vente de produits de haute qualité sur les marchés. Trop souvent, même lorsque les rendements sont élevés, les producteurs perdent du revenu du fait de mauvaises pratiques après la récolte. La stratégie du CNFA vise à la fois à accroître la productivité et la qualité des productions et à mettre en place une infrastructure efficace pour le traitement, le stockage et la commercialisation après récolte, afin de prolonger la saison de vente et d’aider les agriculteurs à obtenir des rendements optimaux par rapport à leurs investissements. Le CNFA encourage l'utilisation de meilleures pratiques concernant les techniques et procédures post-récolte (climatisation, lavage/tri/classement, refroidissement immédiat ou stockage au froid sous atmosphère contrôlée, etc.). Le CNFA propose également des formations pour la réalisation de plans d’affaires, notamment les stratégies de vente et les plans marketing. Il est essentiel de sélectionner, cultiver et commercialiser des produits à forte valeur ajoutée afin d’accroître les revenus et de créer une activité agricole viable et compétitive. En utilisant une combinaison d'assistance technique et de subventions minimes pour introduire des pratiques et technologies concurrentielles, le CNFA soutient une agriculture à haute valeur ajoutée, portée par la demande des marchés et les opportunités commerciales. Le CNFA travaille avec les entreprises pour identifier les meilleures stratégies sur le long terme (expansion des marchés, augmentation des capacités, investissements) et contribuer à l’autonomisation des entrepreneurs et l’accroissement de leurs revenus ruraux. Il peut s'agir de l'introduction de nouvelles variétés de cultures ou de l'application de nouvelles technologies de production, notamment des techniques intensives, des systèmes d'irrigation avancés et efficaces, l'utilisation de SIG et de la télédétection pour la planification de la production et des recherches génétiques orientées vers une haute productivité. Ces projets soulignent les possibilités d'investissement futures ou d'assistance dans ce secteur ainsi que les avantages compétitifs au sein du marché. Une façon pour les entrepreneurs d'accéder aux marchés à plus forte valeur est de s'assurer des certifications spéciales. Le CNFA aide ses partenaires locaux à institutionnaliser des programmes de gestion de la qualité, introduire des normes de qualité internationales (ISO, HACCP) et développer et commercialiser de nouveaux produits, de nouvelles marques et des programmes de labellisation.

11/01/2011


Packaging for fruits, vegetables and root crops

Food and Agriculture Organization of the United Nations, Bridgetown, BARBADOS September 1988L'objectif principal de ce manuel est de décrire la manière dont les opérations post-récolte et la commercialisation peuvent être améliorées par un meilleur conditionnement. Les exportations interrégionales des pays indépendants anglophones dans les Caraïbes orientales dépassent les 60 000 tonnes de produits commercialisés, évaluées à quelque 90 millions de dollars est-caribéens (EC) par an. Si l'on suppose une perte de 20 pour cent, la perte économique causée par les pertes post-récolte pourrait bien être de plus de 18 millions de dollars EC chaque année. Par conséquent, la réduction de ces pertes de seulement un pour cent augmenterait la production commercialisable totale de 600 tonnes supplémentaires de produits, d'une valeur de 1 million de dollars EC chaque année, sur les marchés régionaux. Le total des exportations mondiales de produits frais en 1986 a été estimé à 226 505 millions de dollars US. Une perte d’un pour cent équivaut à une perte financière de 227 millions de dollars. Seule une petite partie de la production mondiale de denrées agricoles est exportée et, selon les estimations de la FAO, les pertes post-récolte ont été de l'ordre de 20 à 33 % de l’ensemble de la nourriture produite. Une légère réduction des pertes post-récolte entraînera une baisse des pertes financières et une disponibilité accrue en produits alimentaires. D’autres pertes telles que la perte d'opportunités de marché, de qualité et de clientèle peuvent également aboutir à une perte financière pour le commerçant ou l’agriculteur.

11/01/2011


Plant and Food Website

Plant & Food Research est une société néo-zélandaise constituée en décembre 2008 par la fusion de HortResearch et Crop & Food Research. Avec plus de 900 personnes basées dans différents sites en Nouvelle-Zélande, en Europe, aux États-Unis et en Australie, Plant & Food Research travaille sur des projets de recherche et de développement qui ajoutent de la valeur aux fruits, légumes, cultures et produits alimentaires. Ses partenariats de recherche ou commerciaux couvrent un large éventail de disciplines et de secteurs industriels – biologie moléculaire, nutrigénomique, fruits frais, produits de la mer à haute valeur. L’objectif central de Plant & Food Research est de soutenir la croissance d’une industrie basée sur les plantes et les ressources marines, en Nouvelle-Zélande et ailleurs, grâce à l'application et la commercialisation d'innovations fondées sur la recherche. La recherche scientifique dans des domaines clés comme le développement de cultivars d’élite, les systèmes de production durable et la protection biologique soutient la production de produits de haute qualité gagnant des parts sur les marchés internationaux, tandis que la recherche en sciences alimentaires et le consommateur suscitent la conception et le développement de nouveaux aliments fonctionnels qui offrent de nombreux avantages pour la santé humaine et le bien-être.

11/01/2011


Post-harvest food losses in developing countries: A new study

United Nation University Press, Food and Nutrition BulletinUne partie des productions de cultures alimentaires et des poissons pêchés pour l’alimentation dans le monde n’atteint, inévitablement, jamais ce que les technologues dans le domaine de la conservation des aliments après récolte appellent les « étapes de préparation des aliments ». Des récoltes au mauvais moment, des machines inefficaces, la négligence, les rats et insectes, les moisissures, les bactéries, les contaminants, la chaleur, le froid, l'humidité et le manque d'humidité continuent d’amputer de nombreuses récoltes. Le groupe d'experts ayant déterminé les priorités du Programme contre la faim de l’Université des Nations unies, en 1975, a conclu que le problème de la conservation post-récolte des aliments ne recevait pas une attention suffisante de la part des organismes internationaux et bilatéraux. Ils ont recommandé que ce soit l'un des trois sous-programmes du Programme mondial contre la faim. Une nouvelle étude sur les pertes post-récolte dans les pays en développement, Post-harvest Food Losses in Developing Countries, qui vient tout juste d’être achevée par le Conseil national de la recherche des États-Unis, conclut que « les pertes post-récolte sont “énormes” ». Pourtant, selon le rapport, « nous ne savons pas… quelle proportion des pertes post-récolte il est techniquement ou économiquement possible de réduire. Nous ne serons pas non plus en mesure de les évaluer tant que des efforts coordonnés, systématiques, pour estimer et réduire les pertes ne seront pas mis en œuvre à un niveau national, régional et local ».

11/01/2011


Post-harvest handling of horticultural produces a challenge to developing countries.

Acta Horticultura 369: 40-46, 1994.Les opérations post-récolte établissent un lien entre cultures et consommateurs de telle manière que le producteur en tire bénéfice de même que le consommateur. En cette matière, le défi pour les pays en développement est essentiellement de savoir dans quelle mesure ils peuvent développer la volonté politique de créer un environnement favorable aux affaires, mettre en place les infrastructures, les facilités nécessaires, les bonnes pratiques de gestion. Le succès du Kenya et de la Thaïlande dans le développement de leurs cultures horticoles, notamment avec l’utilisation de technologies de manutention post-récolte, est principalement dû à la création d'un bon environnement pour les affaires et à leurs efforts constants face à des difficultés continues. L‘enjeu devient de plus en plus important en raison de la sensibilité des produits horticoles, de la prise de conscience grandissante s’agissant de la qualité, et d’une concurrence plus rude entre les pays. Le nettoyage, le calibrage, l’emballage, le stockage et le transport des produits horticoles représentent encore des problèmes importants pour ceux qui sont impliqués dans ces opérations. Un programme d'amélioration sur les terminaux post-récolte peut réduire, voire éliminer, les problèmes de gestion post-récolte dans un pays en développement.

11/01/2011


Postharvest Losses of Fruit and Vegetables in Asia - Food and Fertilizer Technology Company for the Asian and Pacific Region

Tout fruit et légume frais est, par nature, périssable. Au cours du processus de distribution et de commercialisation, on constate des pertes importantes, qui vont d'une légère perte de qualité à la détérioration totale. Ces pertes post-récolte peuvent se produire à n'importe quel moment dans le processus de commercialisation, depuis la récolte initiale, puis l'assemblage, jusqu’à la distribution au consommateur final. Elles ont plusieurs origines : les dommages physiques pendant la manutention et le transport, le déclin physiologique, la perte d'eau, ou parfois simplement parce qu'il y a un excédent sur le marché et qu’aucun acheteur ne peut être trouvé !

11/01/2011


Postharvest Technology Research and Information Centre (UC Davis)

La mission de cette organisation est de réduire les pertes post-récolte et d'améliorer la qualité, la sécurité et la vente des produits horticoles frais. À travers les programmes de recherche et de vulgarisation de 11 spécialistes en vulgarisation, des informations pertinentes sont fournies aux producteurs, expéditeurs, commerçants, transporteurs, distributeurs, détaillants, transformateurs et consommateurs de produits horticoles frais en Californie. Il s’agit de l’une des principales sources d'information fondée sur la recherche dans le domaine de la post-récolte. Le Centre communique de manière efficace des informations et des connaissances sur les technologies post-récolte qui améliorent la qualité, la sécurité et l’attractibilité des produits horticoles frais. Il favorise une collaboration novatrice et renforcée entre les membres du centre, le secteur industriel, le gouvernement et autres institutions académiques, nationales et internationales. Il est financièrement autonome. Le Centre est hébergé par le Département des sciences végétales à l'UC Davis.

11/01/2011


Reducing Postharvest Losses of Horticultural Commodities in Nigeria through Improved Packaging (The World of Food Science)

Le Nigeria produit une grande variété de fruits tropicaux qui nous sont familiers, agrumes, mangue, papaye, goyave, ananas, banane, melon d'eau, etc., et une variété de petits fruits indigènes africains moins connus telles la pomme Star africaine (Chrysophyllum albidum), la prune de porc (Spondias mombin), une poire indigène (Dacryodes edulis) et la mangue africaine ou sauvage (Irvingia gabonensis). Le pays est un des principaux producteurs de piment et de grosses quantités de tomates, plantain, oignon, gombo et autres légumes sont cultivées dans ses diverses zones agro-écologiques allant du sud humide à la région subhumide de la ceinture centrale et au nord semi-aride/aride. Fruits et légumes frais sont, par nature, davantage susceptibles de se détériorer dans des conditions tropicales caractérisées par des températures et une humidité ambiantes élevées, et la présence de nombreux ravageurs et maladies. Par conséquent, les pertes post-récolte de fruits et légumes sont extrêmement importantes au Nigeria (30-50 %), aggravées par des conditions médiocres de commercialisation, de distribution et de stockage.

11/01/2011


Réduire les pertes agricoles et le gaspillage alimentaire

Par la FAO à la demande de l'Institut suédois pour l'alimentation et la biotechnologie (SIK), mai 2011.Ce rapport a été préparé par la FAO à la demande de l'Institut suédois pour l'alimentation et la biotechnologie pour Save Food! , un congrès thématique organisé en mai 2011 dans le cadre du salon international de l'industrie de l'emballage, Interpack2011. Quelques faits et chiffres des plus marquants : Aussi bien les pays industrialisés que les pays en développement gaspillent grosso modo les mêmes quantités de nourriture, soit 670 millions et 630 millions de tonnes respectivement. Chaque année, les consommateurs des pays riches gaspillent presque autant de nourriture (222 millions de tonnes) que l'entière production alimentaire nette de l'Afrique subsaharienne (230 millions de tonnes). Les fruits et légumes, ainsi que les racines et tubercules, ont le taux de gaspillage le plus élevé. Le volume total de nourriture perdue ou gaspillée chaque année est équivalent à plus de la moitié de la production céréalière mondiale (2,3 milliards de tonnes en 2009-2010). Le rapport fait la distinction entre pertes alimentaires et gaspillage de nourriture. Les pertes alimentaires – aux stades de la production, de la récolte, de l'après-récolte et de la transformation – sont plus importantes dans les pays en développement. Cela est dû à la fois aux infrastructures défaillantes, aux technologies dépassées et au manque d'investissements dans les systèmes de production alimentaire. Un autre rapport sur l'emballage des aliments à l'intention des pays en développement a également été préparé à l'occasion du congrès Save Food! Il souligne notamment qu'un emballage approprié est un élément clé pour la réduction des pertes qui se produisent à presque toutes les étapes de la chaîne alimentaire. D'intérêt pour la recherche liée au gaspillage et aux pertes est le rapport du "UK Government Office for Science" : Foresight 2011. The Future of Food and Farming.

14/06/2011


Site du projet 'African Food Traditions Revisited by Research' (AFTER)

Il s’agit du site du projet AFTER, financé par la Commission européenne dans le cadre du septième Programme-cadre de recherche et développement technologique. Avec une durée de quatre ans, AFTER a l'intention de produire et de partager des connaissances sur la technologie alimentaire pour une gamme de produits traditionnels, en Afrique et entre l'Afrique et l'UE. AFTER est basé sur trois groupes de produits : les produits fermentés à base de céréales ; le poisson et la viande salés et fermentés ; les extraits de plantes traditionnelles pour les aliments fonctionnels. Le projet AFTER sera mis en œuvre par des équipes interdisciplinaires de sept pays africains, Afrique du Sud, Bénin, Cameroun, Ghana, Égypte, Madagascar, Sénégal, et quatre pays européens, France, Italie, Portugal et Royaume-Uni.

11/01/2011


Site du système d'information sur les pertes post-récolte (Commission européenne)

Ce site propose des estimations des pertes après récolte, à partir du pourcentage du poids perdu, pour les cultures céréalières en Afrique orientale et australe, pour chaque pays et ses provinces. Le calculateur qui établit ces estimations peut aussi être téléchargé par les utilisateurs comme une simple feuille de calcul et les valeurs par défaut modifiées selon les préférences de l'utilisateur. Un manuel d’initiation au système à l’intention de l’utilisateur et un article de synthèse sur les estimations de pertes de poids post-récolte pour la région peuvent également être téléchargés. Les données sur lesquelles ce système est basé ont été soumises par des experts locaux qui forment ensemble le réseau.

11/01/2011


Stewart Postharvest Review

La Stewart Postharvest Review est une revue en ligne exclusivement consacrée à la publication de travaux dans divers domaines de la biologie et de la technologie post-récolte. L'accent est mis sur l'échange d'informations et d'opinions entre chercheurs spécialisés dans le développement et l'application de tous les aspects de la technologie post-récolte, qu’ils appartiennent à l’université, à l’industrie ou à des organisations gouvernementales. La revue couvre tous les aspects de la recherche post-récolte ayant trait aux céréales, aux fruits et aux légumes, depuis la récolte jusqu’à la transformation : aspects qualitatifs ; économie et commercialisation ; emballages et transport ; ingénierie et électronique appliquées à la technologie post-récolte ; stockage ; mûrissage et vieillissement ; détérioration et pertes ; séchage. Des traitements minimums comme le lavage et la découpe peuvent être inclus lorsqu’ils sont nécessaires dans le processus étudié.

11/01/2011


Un projet européen pour une production et une distribution plus durables des produits alimentaires

Le projet SENSE (Harmonised Environmental Sustainability in the European food and drink chain) rassemble des chercheurs, des producteurs, des transformateurs et des distributeurs afin de développer une approche harmonisée pouvant être utilisée pour évaluer l´impact environnemental des produits alimentaires avec efficacité et précision. Le projet SENSE (7e PC) vise à contribuer à l´engagement du secteur de l´alimentation et des boissons pour des méthodes de production, de transformation et de distribution écologiquement durables. La situation actuelle montre clairement la nécessité de disposer d´outils permettant de réduire l´impact environnemental de cette industrie tout au long de la chaîne de valeur, depuis la production et la transformation jusqu´à la distribution commerciale. Les membres de SENSE s´attacheront en particulier à créer une méthodologie pouvant être appliquée aux secteurs des jus, des produits laitiers, de la viande et de l´aquaculture, choisis pour leur importance dans les marchés européens. (EurekAlert, 22/02/2012)

1/05/2012


Website of the European Federation of Food Science & Technology

Il s’agit du site de la Fédération européenne de la science et la technologie alimentaires (EFFoST), association à but non lucratif qui fédère la science et la technologie alimentaires en Europe. La fédération est le groupe européen de l'Union internationale de la science et la technologie alimentaires, qui est lui-même un membre à part entière du Conseil international pour la science, l'organisation scientifique des Nations unies (ONU). Le secrétariat est situé à l'Université de Wageningen. L’EFFoST gère des publications et organise des manifestations sur des questions d'actualité dans le domaine industriel, notamment sur la législation et son application

11/01/2011