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Organismes S&T / Ressources Web


Les travaux d’étudiants africains de maîtrise publiés dans la revue African Crop Science

Quinze documents de recherche élaborés par des étudiants africains de maîtrise financés dans le cadre du projet SCARDA, en partenariat avec le RUFORUM, ont été publiés dans un numéro spécial de la revue African Crop Science. Débuté en février 2007, le projet SCARDA (Renforcement des capacités pour la recherche et le développement agricole en Afrique) a pris fin en décembre 2010. (NRI, 25/05/2012)

11/07/2012


Enseignement des filières scientifiques et techniques : cas du Sénégal

Une étude produite récemment par des professeurs d’université du Sénégal et des experts belges a portée sur la filière ‘science et technique’ (S&T) de l’enseignement national montre que les obstacles majeurs à la sélection et à la complétion par les élèves d'études en sciences et techniques dans les collèges, lycées et universités sont la pénurie de personnel enseignant, en particulier dans les zones rurales, le manque de matériel dans les établissements pour mener des expérimentations et une méthode d’enseignement des S&T trop formelle, peu transmissive et trop abstraite qui rebute les élèves. Le Pr Abdoulaye Samb, co-auteur de l'étude, de la faculté des Sciences et Techniques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et membre de l’Académie des sciences du Sénégal, propose de s'appuyer sur les Blocs scientifiques et techniques (BST) pour booster l'enseignement des S&T. Les BST sont des établissements scolaires construits pour contribuer à l’amélioration qualitative et quantitative de l’enseignement des Sciences et de la Technologie. Leur mission est de contribuer à l’appropriation par les élèves de la pratique expérimentale et de la démarche scientifique (plus de détails sur les BST au Sénégal ici).(Source : Allafrica, 8 décembre 2010.)

14/02/2011


Rwanda : promouvoir une participation accrue des femmes en S&T

Le programme pour l’égalité des chances, un projet de deux ans coordonné par le Ministère rwandais de l’Education et financé par la Banque africaine de développement (BAD), vise à enrôler 200 jeunes filles dans des établissements d’enseignement supérieur d’ici fin 2011. Selon Diogene Mulindahabi, coordonnateur du projet, l’objectif est d’améliorer la base de compétences dans le domaine de la science et de la technologie en renforçant les capacités d’apprentissage des étudiantes. D’ici la fin de l’année, 100 jeunes filles auront la chance de poursuivre leurs études dans des établissements d’enseignement supérieur de S&T. Les jeunes filles, qui suivent actuellement une formation initiale de six mois dans diverses disciplines scientifiques, ont été sélectionnées à travers tout le pays avec l’appui de l’office national des examens. Ce programme contribuera à accroître la participation effective des femmes (encore très peu représentées dans l’enseignement supérieur) dans le domaine de la science et de la technologie. (Source : AllAfrica, 21 août 2010).

16/11/2010


Rwanda : promouvoir une participation accrue des femmes en S&T

Le programme pour l’égalité des chances, un projet de deux ans coordonné par le Ministère rwandais de l’Education et financé par la Banque africaine de développement (BAD), vise à enrôler 200 jeunes filles dans des établissements d’enseignement supérieur d’ici fin 2011. Selon Diogene Mulindahabi, coordonnateur du projet, l’objectif est d’améliorer la base de compétences dans le domaine de la science et de la technologie en renforçant les capacités d’apprentissage des étudiantes. D’ici la fin de l’année, 100 jeunes filles auront la chance de poursuivre leurs études dans des établissements d’enseignement supérieur de S&T. Les jeunes filles, qui suivent actuellement une formation initiale de six mois dans diverses disciplines scientifiques, ont été sélectionnées à travers tout le pays avec l’appui de l’office national des examens. Ce programme contribuera à accroître la participation effective des femmes (encore très peu représentées dans l’enseignement supérieur) dans le domaine de la science et de la technologie. (Source : AllAfrica, 21 août 2010).

16/11/2010


Stages rémunérés au CRDI

L’objectif principal des stages rémunérés est de permettre à des stagiaires de se familiariser avec la recherche au service du développement international en suivant un programme de formation en gestion de la recherche et en administration de subventions, encadrés par le personnel de programme du Centre. Les stages ont été conçus pour offrir une expérience pratique de la gestion de programmes de recherche axée sur la production, la diffusion et l’utilisation de connaissances dans une perspective internationale. Les candidats retenus exécutent un programme de recherche sur le sujet proposé dans leur demande de stage durant une partie de leur stage (équivalant souvent à 50 %). Durant l’autre partie du stage, ils apportent un appui aux gestionnaires et au personnel de programme. Date limite de soumission des candidatures : 12 septembre 2010

30/06/2010


Octroi de bourses financées conjointement par TWAS, AAS et Microsoft Research

La société Microsoft Research, en partenariat avec l’Académie des sciences du Tiers-Mode (TWAS) et l’Académie africaine des sciences (AAS), a institué le Prix TWAS-AAS-Microsoft Research destiné aux jeunes chercheurs pour une période de trois ans, de 2009 à 2011. Ce prix vise à distinguer de jeunes chercheurs, travaillant et vivant en Afrique, et dont les recherches en informatique ont eu, ou pourraient avoir, un impact positif dans les pays en développement. Les nominations seront soumises à la TWAS et devront souligner les réalisations des candidats dans le domaine concerné. Les candidats devront par ailleurs fournir le nom de deux recommandataires.Date limite de soumission des candidatures : 31 juillet 2010

30/06/2010


Une initiative de bourses d’études : le Programme « YES »

Le programme de soutien aux jeunes dans leurs études « YES » est l’une des principales composantes de l’initiative spéciale « Jeunes et enfants » de l’UIT-D, en faveur des jeunes nécessiteux et méritants ressortissants des PMA (pays les moins avancés), de pays en développement et de pays dont l’économie est en transition et qui souhaitent mener à terme leur éducation tertiaire dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) ou un domaine connexe. Il s’agit de permettre à des jeunes gens motivés de contribuer au développement de leur communauté, de leur pays et de leur région en mettant à profit les connaissances et compétences acquises dans le domaine des TIC.

24/03/2009