Knowledge for Development

Publications

Sélection de publications et de rapports concernant la S&T pour le développement dans les pays ACP.


Comment l’agriculture et les politiques alimentaires peuvent-elles améliorer la nutrition?

Selon le Panel mondial sur l’agriculture et les systèmes alimentaires pour la nutrition, l’idée traditionnelle selon laquelle un accroissement de la productivité agricole améliorera la sécurité nutritionnelle est complètement dépassée. De même, les interventions concernant la nutrition ou les programmes de protection sociale ne garantissent plus une sécurité nutritionnelle durable à ceux qui en ont le plus besoin. Il reste fort à faire pour veiller à ce que les pays mettent en place des systèmes agricoles et alimentaires qui créera un environnement favorable à une alimentation saine et diverse et améliorera les conditions nutritionnelles des populations. Cette note technique et le résumé qui l’accompagne constituent la première étape du travail entrepris par le Panel mondial, dont la mission est de guider les organes décisionnels, et notamment les pouvoirs publics, sur la manière de formuler des politiques agricoles et alimentaires sensibles aux enjeux nutritionnels, mais aussi d’encourager les investissements dans les pays à revenu faible et intermédiaire.   (Global Panel on Agriculture and Food System for Nutrition, 01.11.2014)

22/02/2015


Convergence sur la nutrition dans les systèmes d’innovation agricole : concepts et méthodes

Dans cet article, Leveraging Agriculture for Nutrition in South Asia (LANSA) – un partenariat de recherche international – introduit le concept de systèmes d’innovation, l’un de ses trois thèmes transversaux. Les auteurs décrivent les origines du concept et la pertinence d’une perspective d’innovation. Cet article constitue un document dynamique : des révisions présenteront des informations tirées d’études récemment menées au Pakistan et de travaux connexes menés par LANSA, entre autres. Les commentaires sur cette approche émanant de partenaires, d’acteurs et de collègues en dehors du partenariat LANSA sont les bienvenus.  (Leveraging Agriculture for Nutrition in South Asia (LANSA), 01.10.2014)

22/02/2015


Modéliser l’adaptation au changement climatique dans l’agriculture

Ce rapport de l’OCDE propose l’introduction de mesures d’adaptation en vue d’atténuer les effets néfastes du changement climatique sur l’agriculture. Il souligne l’importance des mesures d’adaptation planifiées et met en exergue les stratégies possibles de réduction des risques et d’amélioration de la résilience. L’étude se sert du modèle IMPACT (International Model for Policy Analysis of Agricultural Commodities and Trade) pour quantifier les effets possibles du changement climatique et l’efficacité des mesures d’adaptation. Elle examine les effets potentiels des deux stratégies d’adaptation sur les rendements, les prix et la sécurité alimentaire : 1) recherche et développement (pour mettre au point de nouvelles variétés mieux adaptées au changement climatique) et 2) évolution des techniques d’irrigation.    (OCDE, 22/12/2014) 

22/02/2015


Dynamique des systèmes d’élevage et adaptation des communautés pastorales à la variabilité des précipitations au Botswana

La gravité de la sécheresse et l’impact de la variabilité des précipitations sur le bétail et les pratiques d’adaptation ont fait l’objet d’une étude à Kgalagadi, au Botswana, un district particulièrement vulnérable aux sécheresses. Cette étude révèle que le bétail à Kgalagadi, et notamment les chèvres, est généralement associé de façon positive aux précipitations annuelles moyennes. Les pratiques d’adaptation des éleveurs pastoraux comprennent le déstockage, la supplémentation et la mobilité. L’étude conclut que les politiques actuelles de gestion des pâturages encourageant l’installation de clôtures pourraient accroître la vulnérabilité des éleveurs pastoraux aux sécheresses, dans la mesure où cette pratique limite leur mobilité.    (Pastoralism, 24/12/2014)

22/02/2015


Production agricole, diversité alimentaire et variabilité climatique

Ce rapport de la Banque mondiale propose une application empirique du modèle de ménage indissociable reliant les effets des variables exogènes dans les décisions relatives à la production durant la saison des plantations via la variabilité climatique sur la diversité nutritionnelle des ménages. Au moyen de variables exogènes en degrés-jours, les précipitations et les actifs agricoles utilisés comme instruments, les auteurs estiment l’impact de la production sur la diversité nutritionnelle des ménages au moment de la récolte. Les spécifications empiriques estiment l’impact de la production sur la diversité nutritionnelle au moyen du revenu agricole et de la diversité de la production. (Banque mondiale, 01/09/2014)Télécharger le repport 

22/02/2015


Notes d’information et études de cas sur le stockage et la qualité des semences

Les semences conservées par les agriculteurs sont essentielles à la sécurité alimentaire. Catholic Relief Services et leurs partenaires ont publié une série de notes techniques qui fournissent aux gestionnaires de programmes des indications pratiques concernant le stockage des semences. Les études de cas offrent des exemples provenant d’Afghanistan, du Burundi, du Burkina Faso, d’Ethiopie, du Mozambique et du Timor-Leste.    (CRS, 15/12/2014) 

22/02/2015


Le gaspillage tout au long de la chaîne alimentaire

Ce rapport de l’OCDE fait le point sur les données disponibles concernant le gaspillage alimentaire et examine les politiques en matière de gaspillage alimentaire dans les pays de l’OCDE. Les auteurs, Morvarid Bagherzadeh et ses collègues, soulignent l’ampleur du gaspillage alimentaire tout au long de la chaîne d’approvisionnement qui jusqu’ici reste peu connu en dépit d’une couverture médiatique croissante et de l’inquiétude générale suscitée ces dernières années. Selon eux, mieux comprendre l’ampleur du problème contribuerait grandement à relever les enjeux de durabilité étroitement liés, comme la sécurité alimentaire, le changement climatique et les pénuries d’eau.  (OCDE, 21/12/2014)  Télécharger le rapport de l’OCDE 

22/02/2015


Mesurer l’efficacité de la recherche sur l’amélioration des plantes cultivées en Afrique subsaharienne

Ce rapport résume les principales conclusions du projet DIVA (Diffusion et impact des variétés améliorées en Afrique) et permet de mieux comprendre l’adoption et la diffusion de nouvelles variétés sur le continent africain en élargissant le socle de connaissances dans les régions qui étaient peu documentées jusqu’alors, et en améliorant les méthodes permettant d’évaluer cette diffusion[...]. (CGIAR Independent Science and Partnership Council    (ISPC Secretariat, 15.07.2014) 

22/02/2015


Agriculture, nutrition et santé dans le développement mondial : typologie et méthodes d’évaluation des interventions intégrées et de la recherche

On ne dispose pas suffisamment de preuves empiriques sur l’existence de synergies éventuelles entre l’agriculture, la nutrition et la santé, ou même sur les interventions les plus propices dans ces domaines. Cet article propose une typologie des interventions ainsi qu’une méthode d’intégration de sorte que les chercheurs puissent s’enrichir des avancées des autres pour aider à mettre en place des interventions multisectorielles. La typologie reconnaît l’importance des modificateurs d’effet régionaux qui ne sont pas soumis à un appariement aléatoire. L’utilisation de cette typologie faciliterait le pluralisme méthodologique en aidant les chercheurs à exploiter les connaissances générées ailleurs, chacun utilisant la méthode la plus appropriée en fonction de sa situation.  (Annals of the New York Academy of Sciences, 26/02/2014) 

22/02/2015


Conservation de l’agrobiodiversité et sélection végétale – Ajustement des droits de propriété intellectuelle : vers la durabilité et l’équité dans le domaine public

Depuis l’Accord sur les ADPIC et la mise en application interprétative dominante de ses normes minimales, les acteurs qui utilisent, conservent et améliorent la biodiversité agricole sont confrontés à un système très réglementé des droits de propriété intellectuelle qui a été vivement critiqué. Toutefois, ces critiques n’ont guère suscité le changement réglementaire suggéré. Dans cette thèse de doctorat, Fulya Batur explique que cela est dû au manque de contextualisation socio-technologique des lois applicables et de l’interprétation judiciaire. En effet, la propriété intellectuelle s’applique à des contextes d’innovation très différents et touche tous ceux qui œuvrent à l’amélioration des plantes : sélectionneurs, obtenteurs conventionnels du secteur privé, biologistes moléculaires du secteur public, start-ups spécialisées et géants de la biotechnologie intégrée.  (APBREBES, 04/2014) 

22/02/2015


Quel avenir pour les sciences horticoles en Afrique ?

Au Kenya, toutefois, l’horticulture est devenue le sous-secteur le plus important du secteur agricole; elle est non seulement une source importante d’alimentation et de recettes d’exportation, mais a également contribué à créer de nombreux nouveaux emplois. Les universités kenyanes ont ainsi établi des départements d’horticulture et vu augmenté le nombre d’inscriptions d’étudiants de premier cycle en sciences horticoles.

11/01/2015


Les sciences horticoles sont-elles en crise ? Que faire pour assurer leur avenir ?

« Le Kenya souffre d’une pénurie de main-d’œuvre compétente dans l’horticulture aux niveaux institutionnel et commercial. » « L’horticulture traverse une crise au Royaume-Uni. » « L’horticulture est-elle en train de dépérir aux États-Unis ? » « Inquiétudes concernant la pénurie de jeunes diplômés en agriculture en Australie. » « En Ouganda, la floriculture fait face à une pénurie imminente de dirigeants et de cadres qualifiés dans les entreprises floricoles. »« En Nouvelle-Zélande, l’horticulture devra accroître son effectif de 7 800 personnes qualifiées d’ici à 2025 et trouver 26 300 nouvelles recrues pour remédier aux départs naturels. »Comme l’indiquent les titres ci-dessus, l’horticulture traverse une crise dans de nombreux pays. On déplore une pénurie de personnes qualifiées dans de nombreux métiers du secteur horticole et les employeurs commencent sérieusement à s’inquiéter. Une récente publication de la Royal Horticultural Society (RHS) constate que 70 % des entreprises horticoles interrogées au Royaume-Uni ont du mal à pourvoir les postes vacants qualifiés et que 90 % estiment que les métiers de l’horticulture manquent d’attrait (RHS, 2014). Ces 11 dernières années, en Australie, le nombre de jeunes diplômés en horticulture est passé d’environ 150 à près de 40. Les diplômes d’horticulture ont disparu de toutes les universités à l’exception de l’Université Charles Sturt et de l’Université de Melbourneet on constate des tendances similaires dans de nombreux pays européens, américains et océaniques. On estime que le secteur horticole devra pourvoir près de 2 000 nouveaux postes par an au cours de la prochaine décennie rien que pour maintenir sa situation actuelle (J.E. Pratley, Université Charles Sturt, communication personnelle).

11/01/2015


La science à vocation sociale – Un nouvel agenda pour des temps nouveaux

Le défi spécifique auquel sont confrontés les pays d’Afrique est le suivant : comment tirer profit des indicateurs positifs et progresser vers un agenda du développement inclusif et axé sur l’être humain permettant d’exploiter le pouvoir de la science et comment transformer ces connaissances en produits et en entreprises commercialement viables. 

11/01/2015


Portraits de femmes et de jeunes professionnels du monde scientifique africain

Cet ouvrage examine le récit d’expériences vécues par 12 chercheurs agronomes africains ayant obtenu des résultats tangibles sur le continent mais aussi à l’échelon international. Dix de ces chercheurs sont des femmes et de jeunes scientifiques lauréats de la 3ème édition du concours des sciences en Afrique. Ils souhaitent tous prendre part à une solution, pas au problème. En tant que chercheurs, ils contribuent en fait à la transformation de l’agriculture en mettant en place des solutions scientifiques à certains problèmes complexes auxquels les agriculteurs africains sont confrontés. Leurs parcours pour devenir chercheurs agronomes sont pour le moins semblables : la plupart proviennent de petites exploitations agricoles et leur perspicacité scientifique a été repérée et nourrie par leurs enseignants du secondaire.

11/01/2015


Notes d’information sur la biofortification

Ces notes d’information présentent les données actuelles sur la biofortification, identifient les lacunes en matière de connaissances et stimulent le débat sur la façon de la mettre à profit pour améliorer la nutrition et la santé. Chaque culture biofortifiée en cours de développement possède une fiche de données détaillant les travaux de sélection variétale menés jusqu’ici, les mises à jour futures, les activités de renforcement des capacités, les efforts régionaux, les faits saillants et les défis du développement. L’une met par exemple en avant l’existence de clones contenant jusqu’à 15 ppm de provitamine A dans le processus de mise au point d’une variété de manioc enrichie en vitamine A, et les défis à relever en matière de sélection (faible teneur en matière sèche dans les variétés enrichies en provitamine A légèrement farineuses). Les 40 notes d’information sont réparties dans trois catégories : Développement des cultures et approches alternatives; Acceptation de la composition nutritionnelle par les consommateurs et rentabilité; Expériences en matière de distribution des cultures. Elles ont servi de documents de travail lors de la conférence sur la biofortification qui s’est tenue au Rwanda en avril 2014. La conférence s’est achevée sur une série d’engagements à lutter contre la faim et les carences en micronutriments, dans le cadre d’une agriculture sensible à la nutrition, qui sont énoncés dans la Déclaration de Kigali sur les aliments nutritifs biofortifiés.    (HarvestPlus, 08/2014)

31/12/2014


La part de l’Afrique subsaharienne dans la production mondiale de recherche en hausse

La contribution de l’Afrique subsaharienne à la production mondiale de recherche est passée de 0,44 % en 2003 à 0,72 % en 2012, ce qui suggère une inversion de la tendance observée en 2007 selon laquelle la contribution de l’Afrique à la production mondiale de recherche était à la baisse. Mettant en exergue les résultats de la recherche et l’impact des citations, le rapport de la Banque mondiale intitulé « Une décennie de développement de la recherche en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques en Afrique subsaharienne », révèle que si le volume de la recherche africaine a doublé ces dix dernières années (la plupart des recherches en Afrique portent sur l’agriculture et la santé, dans la mesure où le continent doit faire face à de graves maladies telles que le VIH/sida et le paludisme, mais aussi l’épidémie d’Ebola, plus récente), les sciences physiques et les disciplines liées aux sciences, technologies, ingénierie et mathématiques ne représentent que 29 % de toutes les recherches menées dans la région, si bien que bon nombre de pays n’ont pas la capacité de renforcer des secteurs comme l’énergie, les transports, l’industrie légère et les industries extractives.       Report: http://www-wds.worldbank.org/external/default/WDSContentServer/WDSP/IB/2014/09/26/000456286_20140926094154/Rendered/PDF/910160WP0P126900disclose09026020140.pdf(University World News, 02/10/2014)

31/12/2014


Cadre d’accès et de partage des avantages (APA) en Australie : un modèle de cas de bioprospection ?

Malgré une législation novatrice sur l’accès et le partage des avantages en Australie, il n’existe encore qu’un seul cas de bio-découverte impliquant le partage d’avantages commerciaux sous la législation du Commonwealth. L’un des enseignements à tirer est le besoin d’améliorer la dynamique dans les contrats d’accès et de partage des avantages et de fixer un seuil de déclenchement plus clair. Associer la législation de l’APA aux droits de propriété intellectuelle par la divulgation des ressources biologiques dans les demandes de brevet peut être une mesure juridique appropriée pour en vérifier la conformité. Des chercheurs de l’Institut Fridtjof Nansen (FNI) affirment que le monde entier tirera également profit de la ratification du protocole de Nagoya par l’Australie parce que le pays a tiré de nombreux enseignements de l’ABS qu’il pourra partager avec d’autres membres. Ces enseignements portent notamment sur l’élaboration d’un système de réglementation, mais également sur les défis juridiques des nations fédérales ayant mis en place des juridictions mixtes au niveau fédéral et étatique. Ces enseignements portent par ailleurs sur les partenariats entre les institutions universitaires publiques et le secteur privé, avec de nombreux avantages pour les deux parties, mais également des difficultés pour établir une distinction entre la bio-découverte commerciale et la bio-découverte scientifique.    (FNI, 01/2014)

31/12/2014


Réduire les pertes post-récolte en Afrique Subsaharienne : une méta-analyse

Les connaissances sur l’ampleur des pertes post-récolte en Afrique subsaharienne sont limitées. Hippolyte Affognona et ses collaborateurs de l’ICIPE (Nairobi, Kenya) ont réalisé une méta-analyse afin de révéler la nature et l’ampleur des pertes post-récolte et les types d’interventions mises en œuvre afin de réduire ces pertes. Leurs conclusions révèlent un certain nombre de lacunes dans les méthodes d’évaluation des pertes qui aboutissent à des estimations inexactes sur les pertes post-récolte. En outre, ces pertes sont plus souvent économiques que physiques. Dans l’ensemble, les techniques de réduction des pertes post-récolte ne mesurent pas de façon précise la dynamique des chaînes d’approvisionnement.    (World Development, 31/08/2014)

31/12/2014


Sécurité alimentaire et nutritionnelle : le concept et sa réalisation

La sécurité alimentaire et nutritionnelle pour tous a accéléré et contribué à la révision des plans d’action au niveau national et international. Il est nécessaire de mieux comprendre la dynamique, les synergies et les liens de causalité en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle pour le développement humain; les concepts actuels doivent être revus. Dans cet article, Joachim Von Braun, Directeur du Centre de recherche sur le développement (ZEF) de l’Université de Bonn, en Allemagne, présente une liste d’actions stratégiques visant à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et traite de l’interaction entre « le pain et le cerveau », c’est-à-dire de questions cognitives éducatives liées à la nutrition. Selon lui, les politiques doivent se focaliser sur la suppression des contraintes liées à l’approvisionnement, à la réduction de l’instabilité des prix, à l’accroissement de la productivité et à la qualité, mais aussi à la réduction du gaspillage.   Note de l’éditeur – Il est encourageant de constater que nous commençons à remettre en question le concept de sécurité alimentaire et nutritionnelle, afin de trouver des solutions à apporter à ce défi mondial. Voir le diagramme sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle du projet CAAST-Net Plus, élaboré par Francis and Nkobu-Talleh (2014).   (Pontifical Academy of Sciences, 2014)

31/12/2014


Compte rendu du 49ème congrès annuel de la Caribbean Food Crops Society

Le compte rendu du 49ème congrès annuel de la Caribbean Food Crops Society (CFCS), qui s’est tenu en juillet 2013, est à présent disponible. Le thème du congrès était le suivant : « L’industrie agroalimentaire, un rôle essentiel pour la sécurité alimentaire : responsabiliser les jeunes et améliorer la qualité des produits ». Les thèmes de recherche étaient variés et comprenaient des sujets tels que la production de tilapia à Trinité-et-Tobago, les briquettes de biomasse, les normes de sécurité sanitaire des aliments, l’évaluation sensorielle des denrées alimentaires locales, entre autres. La Caribbean Food Crops Society est une organisation professionnelle indépendante dotée d’une orientation et d’une équipe pluridisciplinaires. Elle favorise la communication entre les personnes capables de contribuer au développement de la science, de la technologie et de la production végétale et animalière dans les pays du bassin des Caraïbes; elle rassemble des experts, des chercheurs, des vulgarisateurs, des cultivateurs, et d’autres professionnels du secteur de la production et de la distribution de denrées alimentaires, et œuvrant dans le domaine des politiques alimentaires.    (Caribbean Food Crops Society, 30/06/2014)

31/12/2014